Nom du compte SL : Meyden
Nom du personnage : Zyrael
Race : Demi-elfe
Lieu de naissance : Inconnu
Âge : 69 ans
Concept / Spécificités : Il est souvent accompagné d'un jeune worg.
Traits de caractère et description physique :
Froid, calculateur, fin d'esprit, mesuré. Une mer macassar en guise de chevelure, un regard vairon au magnétisme animal, des traits que la finesse aurait pu rendre beaux s’ils n’étaient sans cesse déformés par un rictus sinistre, une silhouette bien découpée qui, bien que de taille légèrement inférieure à la moyenne, suffit amplement pour en imposer lorsque le besoin s’en fait sentir. Contrebandier, receleur, esclavagiste, Zyr’ excelle dans tout ce qui concerne l’illégalité. Il marque une nette préférence pour le trafic d’âmes néanmoins, trouvant une distraction sans pareil dans la détresse d’autrui. Son sadisme prononcé et la fascination qu’il éprouve pour les souffrances des autres en font un personnage dangereux pour qui ne se trouve pas de son côté car il n’aime rien de plus que réduire ses ennemis à l’impuissance afin d’être en mesure d’observer leur déchéance.
Background :
La fierté du demi-elfe n’a d’égale que sa cruauté et son manque de respect concernant toute créature jugée inférieure. Son propre métissage l’ayant durement handicapé durant toute une partie de son existence, il se fait maintenant un plaisir d’exercer son pouvoir malsain dès que l’occasion se présente. Il s’essaya à plusieurs métiers, tous hors-la-loi, avant de trouver sa vocation véritable : l’esclavage. Longtemps, il traqua lui-même ses proies, afin de pouvoir s’imprégner à loisir des effluves de leur peur. Ses affaires florissant, il s’installa, jouissant de son activité tout en explorant les possibilités qu’elle lui offrait. Elles étaient multiples, et il développa ses plus bas instincts au contact des pauvres hères qu’il ramassait, brisait, puis revendait. Le vice appelant le vice, il se permit peu à peu tout ce que son imagination sordide lui soufflait, sa seule limite étant de ne jamais abîmer visiblement la marchandise. De toute façon, qui irait plaindre des créatures dépouillées de tout droit, de toute prétention sociale ?